header

Press Review

Extraits de presse de La Vie Parisienne au théâtre national de l'Opéra Comique

  • Le Journal du Dimanche (27/01/2002) : « Quand l’Opéra-Comique a le feu aux fesses » L’Opéra-Comique vibre au rythme du Cancan endiablé (…) Savary a engagé comme chorégraphe une ancienne soliste du Moulin-Rouge, Nadège Maruta, pour « redonner sa gaîté au cancan» (…) Nadège a ébloui pendant des années le tout Paris touristique - y compris des personnalités qu’on n’imaginait pas se passionner pour le cancan : Hugues Gall par exemple. Jadis, le directeur de l’Opéra de Paris engagea Nadège à Genève pour une version de La vie parisienne que réalisa - déjà – Savary. Et Gall préface aujourd’hui le livre que la cancaneuse va faire paraître sur sa vie. Il voit en elle « tout à la fois la gouaille et l’insolence de Paris » (…) Nadège est devenue l’historienne du cancan. « Aujourd’hui, le Cancan a perdu son humour. Les danseuses toutes clonées sont tristes». Redonner sa gaîté au cancan, voilà son entreprise. »
    Nicole Duault
  • Le Figaro étudiant (05/03/2002) : « Du cancan, du cancan et encore du cancan dans La Vie parisienne! A l’Opéra-Comique, les gambettes et les fanfreluches des cancaneuses continuent d’affoler les foules pour encore quelques semaines (…) Scène après scène, le petit manège de la vie mondaine s’enfile, entrecoupé de french cancans endiablés.»
    Assia Rabinowitz
  • Le Figaro (9-10/02/2002) : « Pas un final où le public ne tape dans ses mains pour rythmer le cancan qui se déchaîne. »
    Jacques Doucelin
  • La Croix (21/02/2002) : « Le spectacle ne manque pas d’énergie avec ses french cancans endiablés, son danseur ‘désossé’ et son délire visuel. »
    Jean- Luc Macia
  • La Tribune Desfossés (11/02/2002) : « Et puis il y a le french cancan, si impertinent dans ses figures (…) Un cancan endiablé avec un Valentin le désossé plus vrai que vrai. »
    Jean-Pierre Bourcier
  • Le Parisien (31/01/2002) : « C’est un hommage au french cancan, né en 1830, et interdit alors pour raison d’immoralité. A l’époque, le cancan était une danse révolutionnaire, sauvage. C’était une java coquine, extrêmement sexuelle. Avec la chorégraphe Nadège Maruta, nous avons essayé de retrouver un cancan canaille que l’on n’a jamais vu. (J. Savary) »
    Frédérique Jourdaa
  • Le Canard enchaîné (13/02/2002) :  « Cela n’entame ni la gaieté du cancan ni le pif et le paf des bouchons de champagne. Une réussite ! »
    Luc Décygnes
  • VSD (7/02/2002) : « (…) et le spectacle de cancan digne du Moulin Rouge de Toulouse Lautrec. »
    Matthias Gurtler
  • Le Journal du Dimanche (24/02/2002) : « (…) une déferlante de cancans, le roi de la fête, superbement lancé. »
    Annie Chénieux
  • Centre France (10/03/2002) : « (…) de vraies danseuses de cancan. »
  • Paris Normandie (1/03/2002) : « Froufrous et jambes en l’air. A l’Opéra comique, Jérôme Savary signe une mise en scène rythmée par le french cancan.(…) Et afin que tout soit réglé comme du papier à musique, il n’a pas lésiné et a confié la chorégraphie à une ex- soliste du Moulin Rouge, Nadège Maruta. Elle connaît son affaire. Et l’ensemble explose sur scène. C’est tonique et transpire de joie de vivre. »
    Benoît Vochelet
  • Valeurs Actuelles (22/02/2002) : « (…) Le french cancan n’est plus aujourd’hui un divertissement populacier ou un piège à touristes canailles mais un genre chorégraphique comme un autre, héritage heureux d’un temps où l’on ne croyait pas que la danse se dût d’être ennuyeuse.(…) porté par une troupe de danseurs exceptionnels. »
    Laurent Dandrieu
  • Le Télégramme de Brest (6/03/2002) : « La Vie parisienne. Cancans et grands délires. (…) Tous se lâchent, musiciens, chanteurs lyriques, comédiens, danseurs- acrobates, mais aussi de vraies Cancaneuses. »
    Anne Touchard
  • Revue Europe (mars 2002) : « (…) Nadège Maruta, la chorégraphe, est une spécialiste du cancan qui défend hardiment ses valeurs de transgression. »
    Béatrice Didier
  • Avantages (avril 2002) : « Le cancan bouscule la morale bourgeoise, met le feu aux théâtres. »
    Bernard Babkine
  • Nice-Matin (28/02/2002) : « Vive les cancans (…) personne ne résiste au french-cancan qui revient à plusieurs reprises et pour lequel Savary a demandé à la spécialiste Nadège Maruta de régler la chorégraphie. Le danseur contorsionniste Pierre-Antoine Dussouillez qui n’a rien à envier à Valentin-le-désossé est fabuleux. »
    Nadine Lefèvre
  • Notre Temps (février 2002) : « (…) et de vraies cancaneuses, qui animent un tableau digne de Toulouse Lautrec. »
  • Opéra International (avril 2002) : « (…) des cancans déchaînés (…) La chorégraphie de Nadège Maruta est particulièrement enlevée, avec un étonnant contorsionniste qui rappelle Valentin le Désossé. »
    Bruno Villien
  • France-Soir (1/02/2002) : « Le Cancan de Savary (…) l’incontournable cancan final. »
    Ariane Dollfus
  • Le Parisien (5/02/2002) : « La vie parisienne : french cancan et franche rigolade (…) Au troisième french cancan, la salle hilare applaudit à tout rompre. Un irrésistible moment de bonheur et de bonne humeur. ! »
    Frédérique Jourdaa
  • Côté femme (27/02/2002) : « French cancan endiablé (…) Les gags fusent, les tableaux s’enchaînent, rythmés par les chahuts et les cancans. Des charivaris chorégraphiés par Nadège Maruta, ancienne soliste du Moulin Rouge. »
    France Odéon
  • Le Quotidien du Médecin (4/02/2002) : « (…) de vraies cancaneuses. »
    Olivier Brunel
  • Têtu (avril 2002) : « (…) coup de chapeau particulier aux danseurs et danseuses de french cancan, qui réalisent bien plus que des performances acrobatiques. Le glamour tonique emporte, entraîne et fait rêver. »
    Pierre Angel
  • Cassandre (septembre 2002) : « (…) Nadège Maruta est à elle seule le moteur de la réhabilitation d’une danse galvaudée par l’industrie du spectacle. »
    Thomas Hahn
  • Washington Times (19 février 2004) : « The high point of the evening was the spectacular dancing . With unbelievably elastic male hoofers cartwheeling about the stage and scantily clad cancan girls kicking suggestively high and displaying more derriere than the Vegas chorus lines they inspired, Offenbach’ s toe- tapping production numbers soon got the entire Opéra House involved in festivities.»
  • The Washington Post (Février 2004) :  « La Vie: Cancan- Do Spirit »
    Cecilia Porter
[Revenir en haut de page]

Extraits de presse de La Vie Parisienne à l'Opéra de Lausanne

  • La Liberté (20 /02/2005) : « Du french cancan à l’Opéra de Lausanne » ( ) « Cette danse canaille et étourdissante sera servie ici par une quinzaine d’élève de l’école- atelier Rudra Béjart Lausanne. Ils mettront leur fougue et leur souplesse au service de la chorégraphe française Nadège Maruta qui fut première soliste de cancan au Moulin Rouge de Paris. »
  • Tribune de Genève (20 /12 /2005) : « Lausanne va courir au cancan de Savary » ( ) « Le french cancan du cinquième acte est réglé par une ancienne première soliste du Moulin Rouge ».
  • La Tribune de Genève ( 27 /12 / 2005) : « Pas de quoi torpiller l’approbation qu’inspire ce spectacle, remarquable aussi par l’indispensable jeunesse des interprètes, avec en têtes l’équipe très Moulin Rouge fournie par l’Atelier Rudra de Maurice Béjart. »
  • Sortir (22 /12/2005) : « French cancan à Lausanne » ( ) « Quand au French cancan, qui intrigue cette opérette aux parfums sulfureux, son histoire a valu bien des malentendus. Né en 1830, au cours d’une période fiévreuse, il s’inscrit à contre courant des valeurs et de la morale étriquée de la société bourgeoise. Les gens de la haute se sont empressés d’interdire cette danse pour raison d’immoralité. « Malheureusement, le cancan s’est peu à peu transformé en une danse de girls qui l’a ravalé au rang de divertissement de cabaret » regrette Nadège Maruta. Cette chorégraphe historienne a même écrit un livre Follement Cancan (ED du Rocher ?2002.) Sa contribution au spectacle est d’autant plus attendue.
    Julian Sylves
  • 24 heures, La Liberté.ch, Le Matin, Le Journal, Le Matin, Le Nouvelliste, Tribune de Genève, La Côte (18/12/2005) : « French cancan à l’Opéra de Lausanne » ( ) « La vie parisienne, danse canaille et étourdissante plus que centenaire qui a nourri bien des fantasme pour musique pétillante, ses froufrou et bien sûr son french cancan, sera servie ici par une quinzaine d’élèves de l’école Rudra Béjart Lausanne. Ils mettront leur fougue et leur souplesse au service de la chorégraphe française Nadège Maruta qui fut première soliste de french cancan au Moulin Rouge de Paris. »
    SDA-ATS News Service
  • Week-end ( 22/ 12 /2005 ) : « Froufrou et French Cancan revisités par les élèves de l’école Rudra Béjart donnent du piquant à une œuvre créée à la fin du XIXe siècle. »
  • Le Temps (22/12/2005) : « Jérôme Savary a réuni sa propre troupe pour la Vie Parisienne à Lausanne. Il s’émerveille des jeunes danseurs de L’ Ecole-Atelier Rudra Béjart, qui ont si bien relevé le défi d’apprendre le French cancan. »
  • Le Temps (24 /12 /2005) : « ( ) Il aime la surenchère, et on ne saurait bouder son plaisir en voyant les jeunes danseuses de l’Ecole-Atelier Rudra Béjart –formidablement souples et toniques faire la roue avec leur jupons cocardiers. »
  • La Tribune de Genève (27 /12/2005) : ( ) « Un vrai décor continuel, du french cancan à la louche, achèvent de donner son allure allègre et divertissante au spectacle ( ) pas de quoi torpiller l’approbation qu’inspire ce spectacle aussi par l’indispensable jeunesse des interprètes, avec en tête l’équipe très Moulin Rouge fournie par l’Atelier Rudra de Maurice Béjart. »
  • 24 Heures (24-24 /12/ 2005) : « Cancans craquants ( ) Un coup de chapeau s’impose à l’adresse des danseurs. Outre les solistes Sophie Agnoux, Sabine Le Roc et Brice Tripart, champions du grand écart, la chorégraphe Nadège Maruta a initié les élèves de l’ Ecole Rudra de Béjart au French cancan le plus déhanché et frénétique qui soit. »
[Revenir en haut de page]

Extraits de presse de La Veuve Joyeuse de Franz Lehár

  • Le Figaro (10/10/05) : « ( ) Cancan endiablé, ( ) A la fin un cancan endiablé dans des flots de jupons colorés, les cris stridents des danseurs et un valentin le Désossé formidable feront le bonheur des photographes. »
    Armelle Héliot
  • Le Figaroscope (26/10/05) : « ( ) Un des grands moments de son spectacle est ce spectacle est cependant un époustouflant cancan chez Maxim’s, avec un contorsionniste et danseuses, tous levant haut la gambette. »
    Yves Bourgeade
  • Le généraliste (09/12/05) : « ( ) Cela se termine par un cancan endiablé face à une Tour Eiffel scintillante »
    Bruno Villien
  • Opéra ( 12 /05) : « ( )On a ajouté au dernier acte un ballet frénétique et déluré, plus Casino de Paris que salle Favart, avec petites tenues, contorsionniste et danse acrobatique. »
    Jacques Bonnaure
  • ParuVendu (17/12/05) : « ( ) Ce spectacle, d’une grande beauté tant au niveau des chorégraphies que de la mise en scène, pose un nouveau principe d’opérette : celui d’une forme nouvelle et intelligente où vivent et agissent des personnages pris dans une réalité. »
    Bernard Moncel
  • Figaroscope (16/11/05) : « ( ) Son cancan est en outre particulièrement réussi. »
    YB
  • Le journal du Dimanche (30/10/05) : « ( ) Nous voilà dans l’allégresse et le charme d’un cancan endiablé. »
    Nicole Duault
  • Pariscope (09/11/05) : « ( ) et une soirée folle débridée chez Maxim ‘ avec un cancan endiablé dans un flot de jupons multicolores, avec un étonnant et élastique Valentin le Désossé. »
    Arlette Frazier
[Revenir en haut de page]

Extraits de presse de Follement Cancan de Nadège Maruta (Parution aux éditions du Rocher en mai 2002)

  • Cassandre (09 /10/ 2002) : « (…) Elle a écrit Follement Cancan, qui n’est pas un livre de danse, mais l’histoire dans laquelle la découverte du cancan fut décisive. Un livre sur l’un des destins hors normes qui semble surgir de nulle part. C’est aussi un livre sur la condition d’artiste et le devoir d’amuser « même lorsqu’on est en proie à des souffrances indescriptibles ». Dans la liberté du récit, par sa vivacité, Nadège Maruta semble livrer chaque émotion qui a compté dans sa vie. Lumineuse et pleine d’autodérision, l’écriture s’envole comme sur un rythme d’Offenbach. Hantée par la mort d’une sœur et d’un frère, mise à mal par sa condition physique « - je suis une naine, une bouboule -», Nadège Maruta découvre la force de la volonté. Mais elle aussi, le cancan finit par la détruire. Exploit incroyable, elle ressuscite, elle est réengagée au Moulin Rouge. S’étant tout prouvé, ayant tout surmonté, elle écrit son autobiographie à quarante ans. Pour tourner la page. »
    Thomas Hahn
  • danse-3-thumb Danse Danse Danse (06 /2002) : Danseuse de cancan, Nadège Maruta est une femme de caractère qui a eut une adolescence difficile et tourmentée. Sixième d’une famille de huit enfants, elle embrasse la carrière de danseuse par dépit, pour surmonter le chagrin causé par la mort de l’une de ses grandes sœurs, au moment où elle venait de réussir le concours d’entrée à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris. Cette autobiographie, réellement poignante, décrit le cheminement de cette artiste très débrouillarde, qui a longtemps hésité entre le cirque et la danse et qui, grâce à un hasard heureux, mais aussi à force de courage et d’abnégation, d’amour propre et de rage de vivre, deviendra soliste au Moulin Rouge. La passion l’emporte, les turpitudes de la vie aussi. Une vie tourmentée qui vous arrachera quelques larmes. »
    JMG

     

  • tele-7-jours-thumbTélé 7 Jours ( 01 /07/2002 ) : « La p’tite femme de Paris. S’il est une passionnée du cancan, c’est elle (…) Elle a mis toute sa rage de vivre au service d’un art difficile, éreintant, magique. Entre ses histoires d’amour chaotiques et son joli tempérament d’artiste, on la lit avec émotion et curiosité. »
    France Cavalié

     

  • Isa (07 /2002) : « Follement Cancan ou la naissance d’une passion pour le french cancan. Nadège Maruta, chorégraphe, relate son parcours de danseuse au Moulin Rouge. Pour survivre dans le Paris des paillettes des années 80, elle fait preuve d’une rage de vivre aussi fougueuse que les déboulés qu’elle exécute. »
    Jean-Luc Geneste
  • Danse Light (09 /10/ 2002) : « Dans cet ouvrage, l’auteur nous raconte son parcours dans le milieu de la danse et surtout la grande révélation de sa vie : le cancan qui lui permet d’exprimer au mieux toute sa rage de vivre. Malgré les difficultés de la vie, notre héroïne finira par atteindre son but : devenir soliste au Moulin Rouge et vedette incontestée du cancan. »
  • Le Journal du Dimanche (27/01/2002) : « (…) Nadège a ébloui pendant des années le Paris touristique – y compris des personnalités qu’on imaginait pas se passionner pour le cancan : Hugues Gall par exemple. Jadis, le directeur de l’Opéra de Paris engagea Nadège à Genève pour une version de La vie parisienne que réalisa – déjà Savary. Et Gall préface aujourd’hui le livre que la ‘cancaneuse’ va faire paraître sur sa vie. Il voit tout à la fois la gouaille et l’insolence de Paris. »
    Nicole Duault
  • question-de-femmes-thumbQuestions de Femmes (08 /2002) : « Nadège Maruta, étoile du cancan. Elle fut soliste au Moulin Rouge et a consacré sa vie au french cancan. Nadège Maruta milite aujourd’hui pour l’intégration de cette danse dans le patrimoine français »
    Fanny Bijaoui

     

[Revenir en haut de page]

Coupures de presse

article-paristinguett01-thumb
jour-de-france-thumb est-eclair-thumb nad-conf-musee-dorsay-thumb
bon-plans-20-minutes